POEME DE GILBERTE MATEU
> VIEILLESSE OBLIGE
> Marchant les yeux bandés le long d’un précipice,
> A chaque heure du jour il se peut que je glisse,
> Les dangers du parcours, d’autres m’en ont parlé
> Mais je n’ai pas le choix, il me faut y aller,
> Je me tourne vers toi qui me donnes la main :
> Forte de ton soutien, j’affronterai demain.
> Apaise ma frayeur, fais taire mon angoisse
> Pour étouffer en moi cette peur qui me poisse.
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